14 janvier 2015 15h19
Malgré un soleil resplendissant, je renonce à aller marcher. Je suis trop fatiguée.
Réveillée vers deux heures du matin, j’angoisse d’avoir supprimé tout le quatrième chapitre. Écouté une longue vidéo de l’extraordinaire Isabelle Padovani qui me fait bien rire et reprendre courage: http://youtu.be/qzNUjoyr7mc
Je me rendors quelques heures, puis je travaille jusqu’à 13h à un collage des quelques fragments que j’ai finalement rescapés de ce chapitre après avoir passé les onze premiers à la trappe. Je poursuis ensuite le remaniement du texte sur l’ordinateur et j’imprime ces dix-sept pages.
C’est en les lisant à haute voix que je décide de supprimer aussi le dernier fragment de mon collage. Le poète dit que c’est de plus en plus évident qu’il y a deux courants du livre qui se croisent et s’entrecroisent: le logique et le magique. C’est bien trouvé!
Le chapitre n’est peut-être pas tout à fait fini. Je verrai ça demain. J’ai deux ou trois courriels à écrire au sujet d’une lecture de poésie que je devais faire à Paris début mars et que je dois annuler car ce chantier du roman me prendra encore beaucoup de travail et de temps.
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