15 janvier 2015, 19h02
Après une promenade matinale près de la rivière embrumée de froid, j’aide le poète à corriger une note finale à son recueil. Le midi, deux pics bois pas frileux creusent l’écorce du lilas dans la cour.
J’écris un court fragment de transition qui me prend un temps fou et je retravaille le chapitre quatre de mon roman de 14h à 15h30, puis le début du chapitre 5 jusqu’à 18h00
L’essentiel du travail consiste à établir une cohérence temporelle entre des fragments écrits au cours des six dernières années. Je fonctionne par essais et erreurs et je dois relire et relire pour que ce soit fluide.
Votre commentaire