La muraille noire des nomades
22 janvier 2015, 17h47
Relu hier jusqu’au soixante-et-onzième fragment de la série des quatre-vingt-dix-neuf. Je reprends ma lecture cet après-midi après une promenade près de la rivière. Passée à la librairie pour acheter des livres pour contribuer à la bibliothèque d’un nouveau-né, j’aperçois un exemplaire du dernier Houellebecq. Il n’en reste que deux exemplaires. Je me le procure tout de suite.
Je poursuis la lecture de mon livre jusqu’à la fin. Je repère des torsades subtiles, mais il vaut mieux les peaufiner encore un peu. Je dois trouver une nouvelle stratégie pour modifier un des chapitres qui détonne, supprimer beaucoup de passages, en réécrire d’autres. J’ai pris quelques notes, pas beaucoup. Il me faudra tout relire à l’écran et modifier à mesure. Et puis, je le constate: le roman n’est pas tout à fait fini. Puisse la chouette de cet hiver glacial m’inspirer la suite!
20h39
Un des fragments revient trois fois. Je n’arrive pas à trouver sa juste place dans l’ensemble. Il me faudra choisir dans quel chapitre il est le plus pertinent.
22h45
Curieusement j’ai photographié un muret ce matin qui évoque le fragment: «La muraille noire des nomades», très court fragment qui opère un tournant important dans le roman où on trouve cette phrase énigmatique: « Pour reprendre son souffle, pour se protéger des hordes de l’invisible?»
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